Qu’est-ce qui vous fait avancer ? Qu’est-ce qui permet aux hommes de réaliser leurs rêves ? Qu’est-ce qui peut ruiner nos vies ? L’HISTOIRE nous fournit des réponses. Examinons, analysons les faits qui bouleversent notre société. Les lectures les plus diversifiées ouvrent notre esprit sur le Monde. Lire a tant de mérites : imaginer, apprendre, rêver…
En 2021, Michel tombe sur un article : « Vous pouvez participer à une « Cohorte évaluant l’immunogénicité et la sécurité du vaccin COVID 19 » »
Michel se dit que c’est l’occasion de se faire vacciner en toute sécurité et de contribuer à la recherche médicale ; il est bien dit : « Vous pourrez tout au long de la recherche demander des informations concernant votre santé ainsi que des explications sur le déroulement de la recherche au médecin qui vous suit. »
- À la fin de l’année 2021, comme de nombreux non-vaccinés, Michel subit la pression sociale, médiatique et familiale, alors il décide de s’inscrire au protocole de recherche sur la sécurité des vaccins. Il a bien pris soin de faire préciser qu’il sera informé au fil des injections et des prélèvements des conséquences de la vaccination sur l’organisme.
De fin 2021 à septembre 2022, il recevra deux doses, il ira à une dizaine de rendez-vous pour de nombreux prélèvements.
Il s’est engagé dans ce processus pour participer à l’effort collectif dans le but de faire progresser la recherche, d’en savoir plus sur l’effet protecteur des vaccins.
- Fin 2022, il réclame les résultats. « Il faut attendre lui répond-on. » En avril 2023, c’est toujours le silence malgré les relances.
Michel a alerté l’ARS, l’INSERM ; en vain. Et il n’est pas le seul dans ce cas.
- Janvier 2024, lors d’un rendez-vous au pôle de l’INSERM chargé de son suivi, il réclame les résultats des analyses pratiquées par les laboratoires pour connaître le taux d’anticorps contenu dans le sang et la salive. La réponse tombe : « — En 2021, nous n’avions pas des moyens suffisamment sûrs pour pratiquer les analyses. Nous avons conservé les échantillons et allons procéder aux analyses avec des moyens beaucoup plus fiables. »
« — Oui, mais on nous avait bien dit que les vaccins étaient fiables, eux ! Comment a-t-on pu affirmer cela si vous me dites que les méthodes d’analyses étaient peu sûres ? »
« — Oui, je sais… »
Le médecin semble démuni face aux questions pertinentes.
- Juin 2024 : Michel attend toujours une réponse. Des Français ont cru - comme lui - rendre service en participant à une telle cohorte. Ils avaient confiance en la promesse des laboratoires.
Celles et ceux qui doutent sont encore pris pour des complotistes. Force est de constater que l’exemple ci-dessus a de quoi rendre perplexe.
Christian Dechartres - écrivain public - http://cd-lmdp.over-blog.fr