Qu’est-ce qui vous fait avancer ? Qu’est-ce qui permet aux hommes de réaliser leurs rêves ? Qu’est-ce qui peut ruiner nos vies ? L’HISTOIRE nous fournit des réponses. Examinons, analysons les faits qui bouleversent notre société. Les lectures les plus diversifiées ouvrent notre esprit sur le Monde. Lire a tant de mérites : imaginer, apprendre, rêver…
Michel a vécu des expériences compliquées avec la médecine, tout petit, à 20 ans et à 50 ans. Ce qu’il reproche aux praticiens, c’est le manque d’informations sur les conséquences des actes qu’il a subis.
Nous sommes toujours des cobayes – en partie – quand un médecin pratique de nouvelles opérations. Mais Michel vit avec des handicaps prévisibles avant les interventions. Le chirurgien lui a avoué - en privé - qu’il ne les pratiquait plus.
Quand les premiers vaccins contre la Covid ont été administrés et que les « spécialistes » se bousculaient sur les plateaux pour en faire la promotion, il n’a pas pu s’empêcher de faire le rapprochement avec ses déconvenues médicales. « Chat échaudé… »
Des médecins, des chercheurs pointaient les risques non évalués. Ces joutes dans les médias lui rappelaient sans cesse les mises en garde que le corps médical aurait dû lui prodiguer avant de l’opérer.
Michel tombe sur un article : « Vous pouvez participer à une “ Cohorte évaluant l’immunogénicité et la sécurité du vaccin COVID 19 ” »
Michel se dit que c’est l’occasion de se faire vacciner en toute sécurité et de contribuer à la recherche médicale ; il est bien dit : « Vous pourrez tout au long de la recherche demander des informations concernant votre santé ainsi que des explications sur le déroulement de la recherche au médecin qui vous suit. »
À la fin de l’année 2021, comme de nombreux non-vaccinés, Michel subit la pression sociale, médiatique et familiale, alors il décide de s’inscrire au protocole de recherche sur la sécurité des vaccins. Il a bien pris soin de faire préciser qu’il serait informé au fil des injections et des prélèvements des conséquences de la vaccination sur l’organisme.
De fin 2021 à septembre 2022, il recevra deux doses, il ira à une dizaine de rendez-vous pour de nombreux prélèvements.
Il s’est engagé dans ce processus pour participer à l’effort collectif dans le but de faire progresser la recherche, d’en savoir plus sur l’effet protecteur des vaccins.
Fin 2022, il réclame les résultats. « Il faut attendre lui répond-on. » Il patiente ; il écrit à nouveau pour demander ce qui est promis dans le protocole. En avril 2023, c’est toujours le silence.
Michel a alerté l’ARS, l’INSERM ; en vain. Et il n’est pas le seul dans ce cas.
Sur les conséquences de la vaccination, c’est l’omerta. Michel a vu des relations partir aux urgences alors qu’ils étaient vaccinés. Deux sont restés plusieurs semaines dans le coma. Il entendait sur les ondes : « le vaccin protège contre les formes graves… » S’il évoquait le sujet dans une réunion, il se faisait éconduire, tout comme les médecins soucieux des conséquences de la vaccination.
Si je vous dis que Michel a perdu confiance dans le système, vous ne serez pas surpris.
Christian Dechartres – écrivain public – http://cd-lmdp.over-blog.fr