livre
« La famille Martin » de David Foenkinos
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Extraits :
Raison - passion : « Elle ne voulait pas manquer de considération à l’égard de son mari, mais préférait dire la vérité : à l’époque, elle avait davantage écouté le souffle de la raison que celui de la passion. » Combien de lecteurs se reconnaîtront dans ce passage !
« … je vois bien qu’écrire est souvent un moyen de régler ses comptes. » Que oui.
De l’utilité des romans : « Je suis souvent surpris de constater à quel point les lecteurs se retrouvent dans les romans, y compris ceux dont les intrigues sont les plus dérangeantes. »
« En se persuadant que des choses extraordinaires peuvent advenir, il arrive qu’elles se réalisent. »
Du travail de l’écrivain public : « J’anticipais peut-être un moment qui adviendrait, celui où mes personnages n’allaient pas supporter ce que j’allais écrire d’eux. »
Du renoncement : « Tout est compliqué dans les relations humaines, si bien qu’on en arrive parfois à renoncer à son désir pour éviter d’éventuelles scènes de justification. »
De l’éducation : « Il y aurait sûrement beaucoup moins de crises pubertaires si l’on plongeait les humains dès leur plus jeune âge dans une réalité moins narcissique. »
De l’écoute : « Écouter les autres requiert une attention de tous les instants, et fatigue bien plus que de parler. » Vrai !
De la vieillesse : « C’est la mort de l’imprévu qui marque le véritable tournant d’une vie, l’entrée dans la vieillesse. »
L’écrivain : « C’est le seul métier où l’on peut brasser de l’air pendant des heures en prétextant être au cœur d’une entreprise colossale (chacun ses alibis). »
De l’utilité de l’écrivain : « Il faudrait plonger un écrivain dans tous les groupes qui ronronnent. À vrai dire, il me semblait plus juste de penser les choses un peu différemment. Oui, j’en étais persuadé maintenant : toute personne que l’on met dans un livre devient romanesque. »
L’immédiateté : « C’est finalement le paradoxe de notre époque : comme nous nous sommes habitués à avoir tout immédiatement (il n’existe plus le moindre délai entre l’envie et la concrétisation de cette envie), la grande entreprise moderne consiste à créer la frustration. »
« … je profitais bien plus de la vie si j’avais un roman en gestation. » Pour tous les écrivains ? Pas sûr.
J’ai pris un réel plaisir à me laisser embarquer dans cette histoire qui m’en a rappelé bien d’autres dans l’exercice du métier d’écrivain public. Nombre de lecteurs passeront un bon moment à la lecture de « La famille Martin ».
Christian Dechartres - écrivain public - http://cd-lmdp.over-blog.fr - http://cd-lmdp.fr
En cours d’écriture, il ne faut pas se laisser distraire par d’autres histoires…
Écrire ensemble, éditer, une passion
Après un roman autobiographique, c’est un virage « naturel ». Elle a vécu une enfance chaotique dans les foyers et les familles d’accueil (narrée dans Le Fruit de l’indifférence). https://cd-lmdp.over-blog.fr/2020/02/le-fruit-de-l-indifference-quand-tout-se-derobe-autour-de-vous.html
Il allait de soi - pour elle - de s’adresser aux enfants avec l’histoire charmante de Yomeji le hérisson.
C’est ludique, pédagogique, illustré par Nicolas Boisbouvier.
Une belle idée en cette période un peu sombre.
À mettre sous le sapin sans hésitation.
Christian Dechartres - écrivain public -
http://cd-lmdp.fr - http://cd-lmdp.over-blog.fr
« Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots. » Martin Luther King
L’écrivain public avec vous pour réaliser votre projet
« Il n’est pire angoisse que de porter en soi une histoire que l’on n’a pas encore racontée. » Zora Neale Hurston (tête de file de la renaissance littéraire à Harlem) n’a pas cessé de mettre en pratique ses connaissances ethnographiques. Le retentissement de son ouvrage Une femme noire témoigne de la volonté que l’on porte à faire partager une histoire poignante.
Votre histoire existe déjà
Combien de fois n’avez-vous pas entendu cette expression : « On pourrait en faire un livre. » Quantité d’amis, de proches, de collègues pourraient raconter leur histoire pour le plus grand plaisir de leur entourage, voire plus. Il suffit de franchir le pas.
L’écrivain public vous guide
Écrire 200 pages, relire, corriger, composer, faire imprimer un livre, ce n’est pas à la portée du premier venu. Par quoi commencer ? En quoi croyez-vous ? Que cherchez-vous en écrivant ? En quoi votre livre changerait votre relation avec votre famille, vos amis, vos collègues ? L’écrivain public vous aide à coucher votre histoire sur le papier.
Votre récit prend forme
Pour répondre à toutes ces questions, l’écrivain public est là. Il met en œuvre tout le processus de la réalisation. Au fil des rencontres, le récit prend vie pour aboutir à votre livre.
Une histoire palpitante ; de la première rencontre à la remise de l’ouvrage, vous vivez une aventure sans pareil.
Une expérience unique
Quand arrive le moment de découvrir le livre, une grande transformation s’est opérée chez vous. Il y a un avant et un après.
Les clients peuvent en attester ; léguer le témoignage des événements traversés dans une vie, c’est une expérience incomparable.
Et quelle fierté de pouvoir brandir votre livre !
Christian Dechartres – écrivain public – http://cd-lmdp.over-blog.fr
Posons la première phrase ensemble et l’édifice montera au fil des semaines.
L’écrivain public porte votre projet

« Il n’est pire angoisse que de porter en soi une histoire que l’on n’a pas encore racontée. » Zora Neale Hurston (tête de file de la renaissance littéraire à Harlem, elle n’a pas cessé de mettre en pratique ses connaissances ethnographiques. Le retentissement de son ouvrage Une femme noire témoigne de la volonté que l’on porte à faire partager une histoire poignante).
Votre histoire existe déjà
Partout, j’entends : « On pourrait en faire un livre. » Combien de gens autour de nous pourraient raconter leur histoire pour le plus grand plaisir de leur entourage, voire plus. Hélas, l’intention ne suffit pas, il faut de la volonté.
L’écrivain public vous guide
Écrire 200 pages, relire, corriger, mettre en page, faire imprimer un livre, ce n’est pas à la portée du premier venu. Par quoi commencer ? En quoi croyez-vous ? Que cherchez-vous en écrivant ? À qui voulez-vous parler ? En quoi votre livre changerait votre relation avec votre famille, vos amis, vos collègues ?
Votre récit prend forme
Pour répondre à toutes ces questions, l’écrivain public est là. Il met en œuvre tout le processus de la réalisation. Au fil des rencontres, le récit prend vie pour aboutir à votre livre.
Une histoire palpitante ; de la première rencontre à la remise de l’ouvrage, vous vivez une aventure sans pareil.
Vous vivez une expérience unique
Quand arrive le moment de découvrir le livre, une grande transformation s’est opérée chez celle ou celui qui a tout raconté.
Les clients peuvent en attester ; léguer le témoignage des événements traversés dans une vie, c’est une expérience marquante, incomparable.

Christian Dechartres – écrivain public – http://cd-lmdp.over-blog.fr
Posons la première phrase ensemble et la voie est toute tracée.
La lecture : intéressante pour lutter contre Alzheimer

Une amélioration après la lecture
Dans les moments qui suivent les séances de lecture, le nombre de connexions neuronales dans la région du cortex temporal gauche augmente. (Aire associée à la réceptivité de la langue). Les chercheurs constatent également une connectivité accrue au niveau de la région du cerveau associée à des représentations sensorielles venant du corps. Ce qu’il faut retenir également, c’est que ces augmentations ne sont pas que ponctuelles.
Un effet préventif

Lire est bon pour notre cerveau, il faut le répéter. Pour les gens qui auraient des prédispositions à la maladie – et pas seulement eux d’ailleurs -, la lecture régulière développe ces connectivités qui nous prémunissent contre le développement de la maladie d’Alzheimer.
Un effet curatif
La lecture à haute voix - pour les personnes déjà atteintes de la maladie - déclenche des processus qui nous échappent. Mais elle modifie certains comportements du malade ; il est plus réactif après l’exercice. Preuve que l’action de lire améliore les connexions neuronales.
Christian Dechartres – écrivain public – http://cd-lmdp.over-blog.fr
- Unissons toutes nos forces pour combattre la maladie
- Encourageons tous nos proches à s’adonner à la lecture.
« Les Écrivains chez Gonzague Saint Bris », une belle édition

Comme il était émouvant d’inaugurer cette nouvelle édition pour rendre hommage à Gonzague.

De l’émotion
Ce dernier dimanche d’août 2018, l’après « Forêt des Livres » avait un air de renouveau dans le cadre splendide de Chanceaux. Nous sentions comme un baptême du feu pour tous les bénévoles prêts à relever le défi.
Le matin, dans l’ovale de verdure, Irène Frain et Boris Cyrulnik ont régalé un public déjà nombreux.
La voix de Gonzague - capable d’envolées lyriques dont il avait le secret- a résonné en ce lieu mythique au fil des « Forêts des Livres ». Dimanche , le fidèle Jean-Marie Rouart – parrain de la journée – a accueilli tous les écrivains.
Une véritable communion
L’après-midi, les auteurs, les bénévoles et le public ont partagé de beaux moments de convivialité tout au long des séances de dédicaces. Pour ma part, j’étais aux côtés de Patrice Duhamel que je salue. Il a été charmant avec nous, avec le public. Nous aurions pu poursuivre nos discussions jusque tard le soir. C’est avec regret qu’il a fallu mettre un terme à cette journée.
Nous avons vécu une belle fête autour du livre.
Une remarquable communion s’est instaurée entre les bénévoles, les auteurs et le public. Une belle réussite.
Nous sommes tous motivés pour renouveler l’événement en 2019 avec un enthousiasme sans limites. Prenez date : dernier dimanche d’août.
Vive le livre, vive la lecture, vivent les écrivains.
Que cette fraternité autour d’une si belle manifestation littéraire nous permette d’éradiquer l’illettrisme et toutes les formes de difficultés face à l’écrit.

Christian Dechartres – écrivain public – http://cd-lmdp.over-blog.fr
« Écrire, c’est une respiration. »Julien Green.
« Les écrivains chez Gonzague Saint Bris » après « La Forêt des livres »
Dimanche 26 août 2018, venez nombreux à Chanceaux-près-Loches.

Gonzague avait fait du lieu, chaque dernier dimanche d’août, le Woodstockde la littérature. Après son dramatique accident, Gonzague nous manque.
L’esprit du disparu plane toujours sur le chalet de Chanceaux qui a vu moult écrivains récompensés.
Dans la Touraine de Balzac, Rabelais, Ronsard, Vigny, de jeunes auteurs se souviennent de leur passage sous les arbres centenaires de Chanceaux.
La remise des « lauriers verts » constituait l’avant-première de la rentrée littéraire en Touraine. Gonzague annonçait les gagnants avec sa gouaille exceptionnelle.
Cette année, place à la nouvelle formule « Les écrivains chez Gonzague ».
Tous les bénévoles ont à cœur de pérenniser l’œuvre de Gonzague Saint Bris. Développer la lecture et lutter contre l’illettrisme demeurent les valeurs fortes du dernier dimanche d’août à Chanceaux-près-Loches.

- Venez dialoguer nombreux avec les auteurs dans un cadre magnifique. Vous repartirez avec le souvenir de cet échange et avec la dédicace personnalisée.
- Vous pourrez assister à la table ronde – animée par Christian Panvert - avec les auteurs.
- Des spectacles sont donnés dans l’après-midi. La journée se terminera en chansons avec Cali.
Une journée inoubliable (de 9H00 à 19H00) en prévision.
Pour échanger avec les auteurs et le public depuis plus de 10 ans, je vous assure que « Les écrivains chez Gonzague Saint Bris »marquera votre fin d’été 2018.
Christian Dechartres – écrivain public – http://cd-lmdp.over-blog.fr

« Il faut que les pages s’agitent dans un livre comme les feuilles dans une forêt ».Gustave Flaubert